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vendredi 22 août 2008

Maria Sharapova, une championne tout simplement... 'canon' !


Au risque de déplaire aux inconditionnels et aux fans aveuglés, c'est officiel : ça y est, la championne de tennis Maria Sharapova, absente des J.O., a plus de contrats publicitaires et de sponsoring que de titres en compétition ! En quelque sorte, une Anna Kournikova nouvelle génération qui a réussi, sportivement et... commercialement.

La sublime Russe de 21 ans, qui pointe actuellement au sixième rang d'un classement mondial toujours dominé par la bombe serbe Ana Ivanovic, n'hésite pas à louer ses charmes slaves à de nombreuses marques de premier plan : Nike, Prince, Tiffany, Land Rover, Sony Ericsson, Canon, Colgate-Palmolive, PepsiCo, TAG Heuer et autres marques de cosmétiques...

Hier soir, c'est... Canon, marque phare de la photographie — dont le nom convient tout à fait à la tenniswoman, qui a participé à plusieurs campagnes pub de la gamme Powershot —, qui profitait de ses services. Maria Sharapova présentait en effet à New York sa collection Canon Powershot Diamond, une série de cinq numériques compacts (Powershot) sertis de 88 diamants blancs. Inutile de vider votre compte en banque et de vous ruer chez votre revendeur : ces bijoux d'appareils seront offerts aux cinq gagnants d'une loterie nationale.

Quant à Maria, inséparable de son compagnon à quatre pattes Woofy, elle était tout simplement sublime. Du coup, on ne l'a pas vu prendre beaucoup de photos. Mais qu'est-ce qu'elle a été mitraillée !

dimanche 17 août 2008

Maria Sharapova plaquée : elle ne crie pas assez au lit


La joueuse de tennis Maria Sharapova est réputée, entre autre, pour les cris qu’elle pousse sur les courts de tennis. Mais sous la couette, ce serait « silence radio ». Adam Levine, le chanteur du groupe

La joueuse de tennis Maria Sharapova est réputée, entre autre, pour les cris qu’elle pousse sur les courts de tennis. Mais sous la couette, ce serait « silence radio ».

Adam Levine, le chanteur du groupe Maroon 5, aurait plaqué Maria Sharapova parce qu’elle ne serait pas assez chaude sous les draps.

Adam Levine aurait fait quelques révélations sur leurs ébats sexuels au journal britannique « The Sun ». Très cru, et loin d’être romantique, il expliquerait les raisons de leur séparation. Le chanteur affirmerait qu’elle « ne voulait pas faire le moindre bruit pendant nos ébats »… « Je pensais vraiment qu'elle serait du genre à hurler. Mais au lieu de cela, elle gisait comme une grenouille morte », rapporte le « Sun ». Adam explique qu’elle « se fâchait si je commençais à gémir ». Elle lui aurait dit que ses gémissements la déconcentraient.

De quoi être déçu, surtout s’il se réfère aux hurlements émis par la joueuse de tennis, que vous pouvez entendre dans cette vidéo extraite d’une rencontre face à Venus Williams.

Maria Sharapova et son chien : une folle histoire d’amour


Dans un entretien avec l'édition allemande du magazine Vanity Fair, la joueuse de tennis russe Maria Sharapova a confié être folle amoureuse de son chien.

Redoutable sur les courts de tennis, la belle Maria Sharapova séduit les publicitaires et les grandes marques. Dernièrement, la joueuse de tennis russe a été choisie pour faire la promotion des nouveaux téléphones de la marque Sony Ericsson.

A tout juste 21 ans, elle est pourtant toujours célibataire. « J'ai déjà eu le béguin, mais je ne crois pas que c'était le véritable amour », confie-t-elle dans l’édition allemande de Vanity Fair. Mais la jeune femme n’est pas non plus en quête du grand amour. « Je crois que la méthode consiste à ne pas chercher à tomber amoureuse ».

Maria Sharapova reste donc un cœur à prendre. Mais attention, Dolce pourrait s’avérer être un redoutable concurrent. Dolce, c’est son petit chien, un poméranien (aussi appelé loulou de Poméranie). Autant être prévenu : « Si jamais j'aime un homme autant que j'aime mon chien, alors cet homme aura un vrai problème, parce que je suis folle de mon chien ».

samedi 16 août 2008

Priancesse Maria : Une poupée russe sur les courts


Lorsque a débarqué cette sirène de Sibérie, du haut de ses 1 mètre 88 et son physique de mannequin, d'aucuns ont cru à un "coup marketing". Pourtant, la très jolie joueuse a su prouver, en remportant plusieurs tournois du Grand Chelem dès son plus jeune âge, qu'au-delà de ses mensurations impressionnantes, elle était une grande championne.
Enfant précoce

Maria naît le 19 avril 1978 à Niagan en Russie. Sa famille décide rapidement de quitter le pays afin de fuir les retombées de Tchernobyl.

Très tôt la jeune fille montre de grandes dispositions pour le tennis. Son père, qui deviendra également son entraîneur, croit en elle et décide de réunir les économies familiales pour donner sa chance à la fillette. Maria tient sa première raquette à 4 ans, participe à un tournoi au côté de la célèbre Martina Navratilova à 6 ans... son père l'envoie naturellement au célébrissime centre d'entraînement de Nick Bolletieri en floride. C'est le "faiseur des champions" du sport de la petite balle jaune (Andre Agassi, Jim Courier, Marie Pierce...). Très déterminée et appliquée, la jeune russe montre très vite une grande ambition et une rage de vaincre propre aux grands champions. Elle devient professionnelle à l'âge de 14 ans. Un record : c'est une des plus jeunes joueuses du WTA de tous les temps. Préparée pour atteindre le plus haut niveau, la sirène venue du froid va pouvoir entrer dans la cour des grands.
Une tueuse dans un corps de mannequin

C'est donc avec ce physique de starlette qu'elle débarque en 2003 sur le circuit féminin du tennis. Le public a encore en tête l'une de ses compatriotes, Anna Kournikova, qu'on a plus connu pour ses contrats publicitaires, ses jambes et sa jolie frimousse, que pour son palmarès. "Masha" va prouver au monde entier que le tennis passe avant tout, et qu'elle compte bien montrer qu'elle est la meilleure. Dès son entrée sur le circuit, elle remporte deux tournois, ceux de Tokyo et du Québec. Elle n'a que 16 ans. A dix-sept ans, elle est 13e joueuse mondiale. On commence à la prendre au sérieux. C'est cette même année qu'elle entrera pour tous chez les grandes du tennis féminin, en remportant le célèbre tournoi de Wimbledon, puis les Masters en fin d'année. Elle est encensée, et devient une superstar. les publicitaires s'arrachent forcément ce minois, et veulent tous en faire leur égérie. D'ailleurs, la jeune femme est fan de mode, et fait autant de shopping sous l'oeil des paparazzis que ses consoeurs du cinéma. Lon peut craindre à ce moment de sa carrière peut-être trop précoce que, à l'instar d'une Kournikova, Hingins, ou Capriati, elle ne se laisse tourner la tête par une célébrité déroutante.
Transformation de l'essai

Mais Maria Sharapova est avant tout une sportive qui veut réaliser son rêve : devenir une grande championne de tennis, sa passion. Et elle montrera que celui-ci passe avant tout. Le 22 août 2005, elle devient la première joueuse russe à atteindre la première place mondiale. Et, même si elle ne remporte aucun tournoi du grand chelem cette année-là, elle se retrouve fréquemment dans le carré final, confrontée aux autres immenses joueuses du moment : les soeurs Williams, Amelie Mauresmo et Justine Henin, ses deux bêtes noires. de plus, sa surface de prédilection reste le gazon ; la terre battue convient moins à sa grande taille, qui rend ses déplacements moins fluides. En 2006, elle est en demi-finales de l'Open d'Australie, remporte le tournoi d'Indian Wells, tombe malheureusement sous les coups de la gagnante 2006 en demi-finale de Wimbledon et accède enfin à son second titre du grand chelem à New York. 2007 se déroulera sous les mêmes auspices : Masha, Henin, Mauresmo et les Williams se battent pour la place de n°1 mondial, à laquelle elles accèdent successivement sans jamais la conserver très longtemps. Cette jolie poupée aura su prouver qu'elle est une championne sur qui on peut compter et gageons que, vu son jeune âge, on devrait entendre encore longtemps parler d'elle...

vendredi 15 août 2008

Sharapova, blessée à l'épaule, manquera l'US Open


Maria Sharapova, numéro trois mondiale, manquera l'US Open qui débute le mois prochain et risque de rester à l'écart des courts de tennis pendant une période pouvant aller jusqu'à trois mois en raison d'une blessure à l'épaule.

Le Dr David Altchek, qui a examiné le scanner de la joueuse russe, a conclu qu'elle ne devrait pas être opérée mais qu'elle pourrait devoir arrêter de jouer pour le reste de la saison.

Agée de 21 ans, Sharapova a déjà annoncé jeudi qu'elle ne participerait pas aux Jeux olympiques de Pékin. Son épaule douloureuse l'avait déjà contrainte à se retirer du tournoi de Montréal après l'avoir emporté au deuxième tour sur la Polonaise Marta Domachowska.

"Le médecin ne croit pas que je doive être opérée et il m'envoie travailler la semaine prochaine avec un spécialiste dans l'Arizona pour une rééducation intensive et il croit que je devrais être prête à jouer dans deux ou trois mois", dit un communiqué de Sharapova.

"Cela me peine beaucoup de manquer les JO et l'US Open. Je pense que ce sera le premier grand chelem que je manque".

Sharapova s'est blessée à l'épaule en mars à Indian Wells en allongeant le bras pour un revers lors d'un match contre Alona Bondarenko.

"Altchek a regardé mes examens d'avril et d'aujourd'hui et il m'a dit que j'avais joué avec une déchirure modérée du tendon depuis avril. En fait, il ne pouvait croire que j'aie joué si longtemps avec cette blessure", a-t-elle dit.

"Vous pouvez imaginer que je n'était pas ravie d'apprendre que mon équipe médicale n'a pas vu cette déchirure à l'épaule en avril".

"La bonne nouvelle, c'est que cela ne s'est pas beaucoup aggravé depuis avril, mais nous pourrions avoir commencé les soins à ce moment là au lieu de maintenant.

"Maintenant, il me faut aller de l'avant et rester positive", a poursuivi la joueuse russe. "Je vais travailler dur pour recouvrer la santé. Une fois que je serai en bonne santé, je suis certaine que je considérerai ceci comme une bénédiction cachée".

Maria Sharapova : Mes résultats parlent pour moi


Facile de remarquer Maria Sharapova pour sa grande taille et pour sa beauté, mais elle est loin d'être Anna Kournikova, puisqu'elle a prouvé qu'elle était capable de se défendre sur un court de tennis avec son troisième rang mondial et ses victoires en tournois du grand chelem. Le Journal de Montréal a eu l'occasion de la rencontrer en privé à la veille du début du tournoi de la coupe Rogers.

«Mes résultats et ma raquette parlent pour moi, alors je ne me soucie pas de ce que les gens pensent», lance-t-elle d'entrée de jeu.

Avec le départ à la retraite de Justine Henin, la course au premier rang mondial est ouverte. Sharapova lutte avec les Serbes Ana Ivanovic et Jelena Jankovic, respectivement première et seconde (voir autre texte en page 101).

Avec 3 626 points au classement de la WTA, Sharapova talonne ses deux rivales. Ivanovic compte 3828 points, alors que Jankovic en a 3685, sans compter ceux amassés grâce à sa demi-finale de samedi, à Los Angeles. C'est donc dire que le tournoi de Montréal pourrait couronner une nouvelle numéro un.

«J'espère revenir au premier rang, mais j'essaie de ne pas y penser. Je travaille fort et je me dis que le classement va se régler de lui-même», indique-t-elle en tapant distraitement un message texte sur son téléphone portable.

La France en train

Après avoir été rapidement éliminée à Wimbledon, la joueuse établie à Sarasota, en Floride, s'est accordé une pause de près d'un mois. Montréal est le seul tournoi qu'elle dispute entre l'épreuve anglaise et les Jeux olympiques de Pékin.

«Je voulais prendre une pause. Il est difficile de se lever tous les matins et d'offrir de bonnes performances sur le court. J'ai aussi besoin de vivre ma vie, de voir mes amis et ma famille.

«Après Wimbledon, j'ai donc décidé sur un coup de tête de partir visiter la France en train avec une amie. Ce fut très amusant et ça m'a permis de voir la campagne», raconte-t-elle, visiblement emballée par son voyage.

On oublie parfois que Sharapova n'a que 21 ans, même si elle évolue chez les professionnelles depuis plusieurs années.

«Je voulais aussi faire un choix intelligent et choisir mes tournois en vue des Jeux olympiques», ajoute la grande blonde.

Une petite corporation

Malgré son absence des courts pendant une bonne partie du mois de juillet, Sharapova ne se l'est pas coulé douce.

«Je travaille sur plusieurs projets, notamment avec Nike et Sony Ericsson. C'est fou, je suis une joueuse de tennis mais j'ai aussi l'impression d'être une petite compagnie en même temps.»

«Je pourrais arrêter de jouer et j'aurais assez d'argent pour bien vivre, mais j'ai encore la passion.» Est-ce une façon de préparer son après-carrière?

«Je ne sais pas. Si je suis chanceuse et que je n'ai pas de blessure sérieuse, il me reste encore six ou sept bonnes années à jouer.

«En attendant, je touche à plusieurs domaines, dont le design, et ça me plaît», a dit Sharapova, qui ne s'ennuiera pas des nombreux déplacements imposés par le calendrier de la WTA.

«Je dirais que ce que j'aime le moins, c'est d'être toujours dans mes valises et d'être loin de mes proches, mais les fans sont incroyables, alors ça me motive», conclut-elle avant de filer vers une autre interview.

jeudi 14 août 2008

Sharapova au coeur d'un scandale de harcèlement


Toyo Shigeta directeur d'une agence de pub est poursuivi actuellement pour avoir pris des photos de l'entre-jambes de nombreuses demoiselles dont Maria Sharapova, avec un télé-objectif.

Comme on est consciencieux aux Dessous Du Sport voici l'une des photos par laquelle le scandale est arrivé. En réalité, pour son partenaire Canon, Maria Sharapova avait incité les gens à prendre des photos d’elle. Toyo Shigeta, dirigeant de Dentsu Holdings, s'est exécuté et a pris ces photos pour satisfaire son obsession des parties intimes féminines

"Prendre en gros plan l’entre-jambes de la femme est une obsession de Shigeta” déclare Steve Biegel, son ancien directeur de la création. Mais cette lubie n'est que la partie émergée de l'iceberg.

Biegel dit également avoir été obligé de se déplacer dans un bordel de Prague, où Shigeta l’a exhorté d’avoir des relations sexuelles avec une prostituée afin de le photographier. Cette photo de l’entre-jambes de Maria Sharapova est jointe à titre de preuve matérielle au procès que fait Biegel à son ancien chef aujourd'hui licencié.

Andrei Kirilenko préféré à Sharapova comme porte-drapeau russe


Andrei Kirilenko a été désigné comme le porte-drapeau de la Russie pour la cérémonie d'ouverture des JO de Pékin, qui se déroulera le 8 août prochain. Le basketteur NBA a été préféré à Maria Sharapova.

Le basketteur Andrei Kirilenko aura l'honneur d'être le porte-drapeau de la délégation russe lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Pékin, qui aura lieu le 8 août prochain. Elu meilleur joueur européen en 2007, " AK47 " comme il est surnommé de l'autre côté de l'Atlantique, évolue actuellement sous le maillot des Jazz d'Utah en NBA.

Un choix qui doit ravir Shamil Tarpishev, le président de Fédération russe de tennis, qui avait interdit à Maria Sharapova de porter le drapeau russe. " Je ne veux pas que Maria Sharapova porte le drapeau russe. C'est une responsabilité trop grande pour une femme, mieux vaut que ce soit un homme " avait déclaré, le 16 juillet dernier, le gourou du tennis russe. Son orgueil de macho doit alors être comblé de voir un grand gaillard comme Kirilenko (2m06 pour 103kg) représenter la force et la puissance du peuple russe...